Sabine Delahaut

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Parade nuptiale - Novembre 2017

Ajouté le 18 févr. 2018

Installation de dessins présentée dans le cadre de l'exposition " Pas de deux " en binôme avec l'artiste Maria Pace à l' Espace Beausite, Arlon, B

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Exposition d'art contemporain: " Le beau, la belle et la bête "

Ajouté le 17 févr. 2018

Le beau, la belle et la bête

https://www.fiac.com/agenda/autour-de-paris-et-en-france/chateau-du-rivau/

1er avril - 5 novembre 2018

Une véritable interaction s’opère donc entre l’âme du Rivau -château hérissé de hautes tours, cerné par un jardin de roses parfumées, abritant une incroyable collection d’art cynégétique- et le miroir enchanté du conte.
Une fois encore, l’exposition donne carte blanche aux artistes ! Cette année, ils seront une trentaine à présentent leur vision du Beau, de la Belle et de la Bête et à tisser de nouvelles passerelles.
Symbole du bien moral, le beau peut aussi se nicher dans l’étrangeté ou le bizarre. Comme dans le conte, le beau n’est-il pas dans le laid ?
« C’est la beauté qui sauvera le monde ? interroge le prince Mychkine» (L’idiot de Fiodor Dos-toïevski). Mais de quelle beauté s’agit-t-i ? Celle de l’obscurité ou celle de la lumière ?
Elodie Antoine, Pierre Ardouvin, Katia Bourdarel, Catherine Bret-Brownstone, Claude Mollard, Helene Delprat, Genevieve Favre-Petrof, Jean-François Fourtou, Michel François, Marie Hendriks, Myriam Mechita, Fabien Merelle, Maro Michalakakos, Bruno Pelassy, Javier Perez, Nadia Sabourin, Julien Salaud, Jim Shaw,Vee Speers, SUN Xue revisitent ainsi pas à pas ses codes et ses travers.
Présentées parmi les coffres et cabinets médiévaux du château, leurs oeuvres nous offrent une nouvelle vision, -poétique, sensible mais souvent inattendue- d’une beauté choisie loin des diktats de la mode ou de la publicité. Comme dans les chapitres d’un livre, chaque salle illustre l’une des thématiques du conte : l’interaction entre l’homme et la nature, la femme héroïne indépendante, la réincarnation, la monstruosité, la rédemption...
L’art n’a-t-il pas le pouvoir de redonner corps au mystère et au merveilleux ?

Monument privé, ouvert au public depuis 17 ans par la famille Laigneau, le Château du Rivau a la particularité d’accueillir chaque année une exposition d’art contemporain conçue par Patricia Laigneau, collectionneur depuis 35 ans. Ayant à coeur de mettre à l’honneur des artistes connus ou méconnus, Patricia Laigneau privilégie les démarches qui explorent l’Histoire, l’identité culturelle et leurs représentations à travers différents média. Soutenant la création au féminin, elle s’attache à partager avec ses visiteurs des oeuvres accessibles au premier regard tout en favorisant différents niveaux de lecture.

Château du Rivau
Le Coudray, 37120 - Lémeré,
www.chateaudurivau.com
info@chateaudurivau.com

Ouverture:
Du 31 mars au 30 avril : 10h-18h
Du 1er mai au 30 septembre : 10h-19h
Du 1er octobre au 4 novembre : 10h-18h

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" Loup, y es - tu ? "

Ajouté le 15 déc. 2017

Exposition personnelle de gravures et dessins, Mai-Juin 2016 à Tours, F

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10 Graveurs à Paris - Gallery Ju-tchi gatsu

Ajouté le 15 déc. 2017

Expositin collective de gravures organisée par Association ARTING et Mégumi Terao

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La gravure comme refuge et libération. par Jean-Paul Gavart-Perret

Ajouté le 12 déc. 2017

Toujours à l’affût de la promesse de l’aube et de son chat qui gratte à sa porte Sabine Delahaut se nourrit toujours rêves d’enfance. Les rêves et les souvenirs sont pour elle un terreau des plus fertiles. Née à Liège elle a su plaquer un travail qui ne la satisfaisait. Elle est allée vers la mise en images des idées qui germent aux « spectacle de la rue, dans les transports en commun, dans mes rêves ou lors d’une conversation ». L’artiste les ébauche d’abord à l’aide de dessins puis les transpose sur une plaque de cuivre. Elle l’incise à l’aide de toutes sortes d’outils de taille douce dont et principalement le burin. Elle imprime ensuite des épreuves, en couleur ou non dans un atelier de gravure qui se trouve dans le 14ème arrondissement de Paris.
Le geste même de la gravure représente pour la créatrice la possibilité de laisser une trace qui se révélera être « un relief tangible, une petite boursouflure sur le grain du papier, comme un fil posé, me fascine. C’est un geste ancestral, simple et beau ». Sabine Delahaut préfère le burin par rapport à l’eau- forte. Elle en rejette le côté par trop aléatoire. Le burin à l’inverse permet de maîtriser son travail d’un bout à l’autre. Celui-là « pousse la ligne vers l’avant, étire le temps dans un geste hypnotique, rassurant. Il est parfois nécessaire de bloquer sa respiration afin de manoeuvre une plaque de grand format, car c’est toujours la plaque qui bouge et donne le mouvement à la ligne et non le burin ».

Pour l’artiste la gravure est une passion dévorante. Elle adore le cuivre vierge lord de promesses comme elle aime les outils qui le pénètrent sensuellement en ayant soin de le caresser afin de vérifier l’absence d’aspérité ou pour combler ses creux de blanc d’Espagne et ainsi révéler le dessin petit à petit. Elle a une tendresse particulière à « cette noble vieille dame » qu’est une presse. Il s’agit de son alliée imposante et nécessaire « faite d’engrenages, de rouleaux et de plateau ». Bref encre, huile, papier, grain, filigrane, grattoir, ébarboir, roulette, burin, pointe sèche, tarlatane, spatule, parfums d’ateliers et d’encres chau ées restent les ingrédients passionnels d’un art confidentiel, discret et silencieux qui implique un partage de savoir et une transmission.
Sabine Delahaut a pour grands anciens ou contemporains Dürer, Memling, Holbein, Louise Bourgeois, Kiki Smith, Vija Celmins, Luc Tuymans, ... Toutes celles et tous ceux que fascinent la spacieuse mélancolie, la solitude extensive et lumineuse. La créatrice construit un espace de douleur et de douceur, la cage de l'être aux barreaux élastiques afin qu'il puisse passer à
travers. La gravure devient le théâtre de son ailleurs. Chaque trait est ouvert, fermé. Il fait reconnaître l'inclinaison du temps là où le geste de création ne sou re pas de compromis et où le regard est dans la main. Graver revient toujours inciser le présent en un acte immobile presque immobile La courbe des épaules de l’artiste dit combien elle ne peut pas se permettre la moindre digression, le moindre geste fantôme.
Surgit chaque fois un état naissant. Entendons par là le secret de la fascination. Un paysage s’ouvre sous la paupière comme s’il s’agissait d’un tableau de Vermeer dont le nom veut dire « plus lointain ». Il y a soudain une ressemblance étrange. Elle rapproche de l’harmonie. Bref une secrète parenté surgit entre le rêve et le théâtre de la gravure même toujours plus vrai que la réalité. L’imaginaire atteint alors ses propres limites, sa frontière . Cela pose la
question de la gravure donc de la vie. Inciser revient à se livrer à sa fascination méticuleuse.

http://www.artpointfrance.info/article-sabine-delahaut-99479604.html
Par Art Point France - Publié dans : Sur et hors de la toile : J.-P. Gavard Perret
Février 2012

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Article de presse

Ajouté le 12 déc. 2017

VIE DES ARTS - n° 248 - Automne 2017

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Article de presse :

Ajouté le 12 déc. 2017

VIE DES ARTS n° 247 et n°248 - 2017

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Impression

Ajouté le 10 déc. 2017

Gravure " Le Petit Maître " - 2017

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Bête de scène & scène de bête

Ajouté le 8 déc. 2017

Une idée …

puis son image,

décomposée,
recomposée

De nombreuses tentatives,

le tournis,
le doute,
la valse des possibles

Une silhouette,

organisée, désorganisée , réorganisée,
à la manière d’un puzzle

La part animale

apparaît, disparaît, réapparaît

Tiraillée …

équilibre – contraste,
tension – harmonie,
incessants va et vient,

caché – assumé …

L’ intime conviction,

dialogues, compréhension,
terrain d’entente - terrain d’attentes

Le doute subsiste ?

superpositions, empilements, échafaudages,

pièces rapportées,
gravées, découpées, crayonnées, assemblées

Jeu de patience ou de hasard ?

La finalité?

Un questionnement …

Et cet animal qui me regarde.


Sabine Delahaut – 2017 –
Bêtes de scènes et scènes de Bêtes

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Baski Sahasi

Ajouté le 8 déc. 2017

Exposition collective de gravures contemporaines à Ankara, Turquie

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